Ces pages éditées par les amis de la confrérie des Culs d’Ours et des cabinets d’vignes en pays de Georges Sand sont intéressantes. Les auteurs s’y trouvent nommés.
J’ai souhaité vous les faire partager, car nous aussi, certainement en Ile de France, nos vignes ont une biodiversité.
Il serait intéressant que nos connaisseurs de la nature nous livrent leurs secrets sur la vie qui règne entre nos cépages.
Sans doute la maitrise des phytosanitaires est un atout pour le respect de cette vie, pas toujours nuisible au bon vin.
Nos chères coccinelles, constituent le meilleur anti-pucerons naturel, encore faut-il éviter de les « coller » aux feuilles par le savon noir en excès, par exemple.
Les araignées sont aussi très utiles, et bien d’autres « compagnons » des vignobles.
D’autres utilisent des fleurs, notamment des roses…
Faut-il laisser l’herbe revenir, avec entretien, sur nos parcelles ?
Exprimez vous sur ce sujet, ce serait une belle page culturelle…