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Une actualité multiple aujourd’hui, signée de Michel MELLA, et Gérard ALLIOT.

Une St Vincent toute particulière cette année, nous avons voulu, tous ensemble fêter, là où nous étions, ce moment dans un instant convivial en pensée.

Nous avons été nombreux à exprimer notre « résistance » à la situation ambiante. Nous ne pouvons pas quantifier le nombre, mais sans nul doute, nous étions nombreux.

Il faut rester actif et déterminé, être présent. Le temps de nous retrouver va venir bientôt.

Il n’est pas trop tard pour envoyer vos photos, si vous en avez faites.


Malgré la formation Certiphyto, seuls 29 % des viticulteurs du Val de Loire connaissent la signification des trois lettres du sigle « CMR » (cancérogène, mutagène et reprotoxique). Et 40 % sont même incapables de donner le sens d’une des trois initiales.


Parcourir de nouveaux territoires du vin, c’est, s’évader un instant des contingences actuelles, de l’âpreté économique, l’incertitude des temps. Tel Janus, dieu des transitions, un monde viticole en pleine mutation nous offre aussi un double visage, l’un tourné vers le passé, l’autre vers l’avenir. Dans une carte des vignobles redessinée, une nouvelle donne ampélographique (liée aux cépages), des pratiques culturales et œnologiques transformées, point un passé ressurgi, des lieux désertés, des variétés oubliées, des savoir-faire enfouis.


En parallèle à l’extension géographique et ampélographique des territoires du vin, un vaste chantier s’ouvre au tournant de l’an 2000, bouleversant les pratiques culturales à la vigne et l’élaboration du vin en cave. Nouvelles technologies et biologie projettent la viticulture dans le futur. Robots mécaniques désherbant les vignes, gestion des traitements assistée par ordinateur, levures de bioprotection en cave en sont des exemples de pointe.


L’Institut Coopératif du Vin (ICV) commence à avoir un bon recul sur les aptitudes œnologiques des cépages résistants. « Depuis 2014 nous avons réalisé 106 vinifications à partir de 20 variétés, pour la plupart déjà disponibles, mais pour d’autres en classement temporaire, ou sous numéro » a détaillé Jacques Rousseau, responsable des services viticoles, lors d’un webinaire organisé par l’IFV ce 21 janvier.


In vitro, l’acide tannique présent dans le raisin et le vin inhibe deux enzymes clé du coronavirus. A son contact, ce dernier ne peut plus pénétrer dans les cellules humaines.

En fin d’année, des chercheurs américains ont montré in-vitro que les polyphénols présents dans le raisin et le vin perturbent la manière dont le virus Sars-Cov2 à l’origine de la Covid-19 se réplique et se propage.

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