La généralisation des tâches de mildiou à compter de juillet l’a contraint à pulvériser de la bouillie bordelaise sur les 2,8 hectares de chasselas, savagnin et pinot qu’il n’avait prévu de ne protéger qu’avec du lait écrémé récupéré la veille chez un fermier voisin, fort de ses bons résultats en 2019 et 2020.
« J’ai économisé 7 traitements au cuivre, mais j’aurais dû en utiliser un peu plus tôt car cette fois je suis loin d’avoir fait le rendement partout, notamment sur chasselas et dans les zones les moins aérées » regrette-t-il.